Securimed tiers-payant
  • Premier Office de Tarification tiers-payant pour médecins-spécialistes et dentistes
  • Vérification de l'assurabilité des patients
  • Défense juridique contre les poursuites du SECM (Service du contrôle médical de l'INAMI)
  • Traçabilité des paiements par les OA

Une large majorité des médecins approuve les tarifs prévus par l’accord médico-mutualiste

20 mars, 2013 par admin

(Belga) Une très large majorité des médecins du pays approuvent le nouvel accord tarifaire négocié avec les mutualités, a annoncé mercredi l’Institut national d’assurance maladie-invalidité (Inami).

Médecins et mutualités ont convenu en janvier dernier d’un nouvel accord tarifaire pour la période 2013-2014. Celui-ci prévoit une hausse des honoraires des médecins et spécialistes de 2%. Les actes techniques posés par un généraliste ne progressent, eux, que de 1%. Les médecins en désaccord sont libres de pratiquer d’autres tarifs, mais ils ne bénéficient alors pas des avantages conférés aux médecins conventionnés. Une prime annuelle de 434 euros est notamment allouée aux médecins pratiquant les tarifs officiels. Selon l’Inami, 83,10% des médecins belges approuvent l’accord, soit une légère diminution par rapport à l’accord médico-mut précédent, lequel avait recueilli 83,23% d’avis favorables. L’enthousiasme est toutefois plus grand auprès des généralistes (87,87%) que chez les spécialistes (79,96%). L’on retrouve le plus de spécialistes conventionnés chez les urgentistes, les intensivistes, les gérontologues, les oncologues et les biologistes cliniques. Les dermatologues, les chirurgiens plasticiens, les ophtalmologues, les gynécologues figurent, eux, parmi les moins conventionnés. Dans un communiqué, la ministre fédérale de la Santé, Laurette Onkelinx (PS), s’est félicitée de ce « taux d’adhésion positif dans un contexte budgétaire difficile ». « L’application de cet accord permettra aux patients de trouver dans un environnement proche, des médecins de qualité, proposant des soins à des prix abordables », a-t-elle commenté.

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Il manque actuellement 500 à 700 médecins urgentistes en Belgique

19 mars, 2013 par admin

(Belga) Il manque actuellement de 500 à 700 médecins urgentistes en Belgique, auxquels il faut ajouter de très nombreux intensivistes. Tel est le constat dressé mardi par Jean-Louis Vincent, chef de service des Soins intensifs de l’hôpital Erasme, à l’occasion de la 33e édition du Symposium international sur les soins intensifs et sur la médecine d’urgence, qui doit rassembler près de 6.000 participants à Bruxelles.

« On doit effectivement ne pas être très loin de 700 médecins urgentistes manquant », confirme Peter Todorov, membre du BeCEP (Belgian College of Emergency Physicians – Collège belge des médecins urgentistes). « Un nombre réduit de gens s’engagent aujourd’hui dans une telle carrière et le débit du robinet n’arrive malheureusement plus à suivre la demande », constate-t-il. « Des conditions très peu attractives pour exercer ce métier expliquent sans doute ce phénomène », poursuit-il. Des horaires lourds avec des journées de travail durant le week-end ou pendant la nuit, combinés à une charge de travail, une pression importante et surtout à un salaire très peu attractif ont eu raison du nombre d’étudiants ayant la volonté de devenir médecin urgentiste. « Cela doit absolument changer car nous ne pouvons continuer comme cela », prévient Peter Todorov, qui constate, en outre, que de plus en plus d’étudiants originaires de France viennent étudier dans notre pays pour ensuite repartir dans l’Hexagone. « Un mouvement que suivent aussi les intensivistes et les urgentistes belges qui se rendent en France car leurs conditions (d’environnement) de travail y sont meilleures », déplore Jean-Louis Vincent. Le chef de service des Soins intensifs de l’hôpital Erasme assure toutefois essayer de susciter un intérêt scientifique et humain pour ces deux professions auprès des étudiants, mais insiste sur la difficulté actuelle de remplir cette tâche.

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Faut-il avoir peur des points P ?

19 mars, 2013 par Dr R. BOURGUIGNON

Il semble bien que la dernière invention de Michel DEVRIESE (SMD), après les « quotas de pauvres », soit un nouveau pétard mouillé…

En effet, pour atteindre une moyenne quotidienne de 200 points par période d’au moins 30 jours, il faut déjà « y aller très fort » et travailler quelque onze à douze heures par jour.

En outre, il est très aisé d’abaisser sa moyenne en attestant six prestations le samedi et six prestations le dimanche : de cette manière, ces journées sont prises en compte pour le calcul de la moyenne.

Les prestations de stomatologie n’interviennent pas dans le calcul de la moyenne, pas plus que les suppléments en cas d’urgence…

A noter que le système des points P concerne tous les actes dentaires — et pas seulement ceux introduits en tiers-payant (contrairement aux « quotas de pauvres »).

Du point de vue juridique, l’AR qui sous-tend l’idée de DEVRIESE est passablement nébuleux, contradictoire et discriminatoire : il ne passera vraisemblablement pas la rampe du Conseil d’Etat, d’autant qu’il viole manifestement l’article 73 de la loi SSI (liberté thérapeutique).

De toute manière, les dentistes visés ne sont guère nombreux : tout au plus une cinquantaine de stakhanovistes et d’étrangers* jouant les castors en concentrant sur de courtes périodes de présence en Belgique un nombre extrêmement élevé de rendez-vous.

Il n’est pas clair si la récupération porte sur la totalité du montant introduit (lecture littérale de l’AR) ou sur le seul dépassement (lecture de bon sens), ni si celle-ci est confiée aux OA (condition d’intervention de l’AMI selon l’AR) ou au SECM (« enquête de conformité » par le SECM d’après le rapport au Roi).

Et si cette récupération passe par le SECM, le dispensateur est-il appelé devant la CPI ? Des amendes peuvent-elles lui être infligées ?

Un dentiste belge (très) grand travailleur, réalisant un CA mensuel INAMI important (variant entre 20 et 30.000 euros/mois), a calculé qu’il se situait certains samedis à 100 points, en semaine en général à 165-170 points, et que ses « pointes » (c’est le cas de le dire…) atteignaient 189 points.

On voit que sa moyenne quotidienne est très éloignée des 200 points/jour !
________________
* Les dentistes faisant la navette entre leur pays d’origine (au niveau de vie moindre) et la Belgique sont expressément visés par le système de points quand bien même leur CA annuel belge serait dans la norme : le calcul s’effectuant sur des jours prestés consécutivement, les retours au pays n’interviennent pas !

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Nomenclature de dentisterie avec les points P

18 mars, 2013 par admin

On trouvera ci-dessous la nomenclature de dentisterie avec les points P et les lettres-clés classiques.

En vertu de l’AR du 17 janvier 2013, cette nomenclature entre en vigueur le 1er mars 2013.

A terme, les valeurs de lettres-clés classiques devraient disparaître.

Télécharger : Art 5.pdf

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AR du 17 janvier 2013 (MB 31.01.2013) relatif aux points en dentisterie

18 mars, 2013 par admin
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Conseil d’Etat

fin

Publié le : 2013-01-31

SERVICE PUBLIC FEDERAL SECURITE SOCIALE

17 JANVIER 2013. – Arrêté royal modifiant, en ce qui concerne certaines prestations dentaires, les articles 5 et 6 de l’annexe à l’arrêté royal du 14 septembre 1984 établissant la nomenclature des prestations de santé en matière d’assurance obligatoire soins de santé et indemnités

RAPPORT AU ROI
Sire,
Le projet d’arrêté royal que nous avons l’honneur de soumettre à Votre Majesté pour signature apporte des modifications aux articles 5 et 6 de la nomenclature des prestations de santé, plus précisément celle des prestations de l’art dentaire. La modification consiste en l’ajout, pour chaque prestation, d’un coefficient de pondération P qui traduit l’investissement en temps et la complexité de la prestation. A l’article 6 est insérée une règle d’application qui subordonne l’intervention de l’assurance à la condition que la moyenne journalière des coefficients P, calculée sur une période qui ne peut pas être inférieure à 30 jours, ne peut pas dépasser 200 P. Seuls les jours pendant lesquels plus de 6 prestations ont été attestées entrent en considération pour ce calcul. Le respect de cette règle d’application sera contrôlé par le Service d’évaluation et de contrôle médicaux de l’INAMI au moyen d’une enquête de conformité. Cette règle d’application supplémentaire est instaurée à la suite du constat consensuel fait par les partenaires siégeant dans les organes de concertation sur l’art dentaire de l’INAMI : les revenus annuels qu’une part infime des praticiens de l’art dentaire perçoivent de l’assurance maladie obligatoire prennent des proportions irréalistes, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas être engendrés par un mode d’attestation correcte et/ou moyennant la préservation d’une qualité minimale des prestations effectuées.
J’ai l’honneur d’être,
Sire,
De Votre Majesté,
le très respectueux
et très fidèle serviteur,
La Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, chargée de Beliris et des Institutions culturelles fédérales,
Mme L. ONKELINX

AVIS 52.047/2 DU 8 OCTOBRE 2012 DE LA SECTION DE LEGISLATION DU CONSEIL D’ETAT
Le 14 septembre 2012, le Conseil d’Etat, section de législation, a été invité par la Vice Première Ministre et Ministre des Affaires sociales à communiquer un avis, dans un délai de trente jours, sur un projet d’arrêté royal modifiant, en ce qui concerne certaines prestations dentaires, les articles 5 et 6 de l’annexe à l’arrêté royal du 14 septembre 1984 établissant la nomenclature des prestations de santé en matière d’assurance obligatoire soins de santé et indemnités’.
Comme la demande d’avis est introduite sur la base de l’article 84, § 1er, alinéa 1er, 1°, des lois coordonnées sur le Conseil d’Etat, tel qu’il est remplacé par la loi du 2 avril 2003, la section de législation limite son examen au fondement juridique du projet, à la compétence de l’auteur de l’acte ainsi qu’à l’accomplissement des formalités préalables, conformément à l’article 84, § 3, des lois coordonnées précitées.
Sur ces trois points, le projet appelle les observations suivantes.
Examen du projet
Préambule
A l’alinéa 1er, il y a lieu de biffer les mots « et … 2012 », la dernière modification apportée à l’article 35, § 1er, de la loi relative à l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités’ étant la loi du 27 décembre 2005.
Les alinéas 6 à 9 seront complétés par les dates respectivement de l’avis de la Commission de contrôle budgétaire, le 6 juin 2012, de la décision du Comité de l’assurance soins de santé de l’INAMI, le 11 juin 2012, de l’avis de l’Inspecteur des Finances, le 23 juillet 2012, et de l’accord du Ministre du Budget, le 3 septembre 2012.
La chambre était composée de Yves Kreins, président de chambre, Pierre Vandernoot et Martine Baguet, conseillers d’Etat, Sébastien Van Drooghenbroeck, assesseur, et Anne-Catherine Van Geersdaele, greffier.
Le rapport a été présenté par Gabrielle Jottrand, première auditrice.
(…)
Le greffier,
A.-C. Van Geersdaele.
Le président,
Y. Kreins.

17 JANVIER 2013. – Arrêté royal modifiant, en ce qui concerne certaines prestations dentaires, les articles 5 et 6 de l’annexe à l’arrêté royal du 14 septembre 1984 établissant la nomenclature des prestations de santé en matière d’assurance obligatoire soins de santé et indemnités
ALBERT II, Roi des Belges,
A tous, présents et à venir, Salut.
Vu la loi relative à l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités, coordonnée le 14 juillet 1994, l’article 35, § 1er, modifié par les lois du 20 décembre 1995, 22 février 1998, 24 décembre 1999, 10 août 2001, 22 août 2002, 8 avril 2003, 5 août 2003, 22 décembre 2003, 9 juillet 2004, 27 avril 2005, 27 décembre 2005, 13 décembre 2006 et 27 décembre 2006 et § 2, 2°, modifié par la loi du 20 décembre 1995, par l’arrêté royal du 25 avril 1997 confirmé par la loi du 12 décembre 1997, et par la loi du 10 août 2001;
Vu l’annexe à l’arrêté royal du 14 septembre 1984 établissant la nomenclature des prestations de santé en matière d’assurance obligatoire soins de santé et indemnités;
Vu les propositions du Conseil technique dentaire formulées au cours de sa réunion du 19 avril 2012;
Vu l’avis du Service d’évaluation et de contrôle médicaux de l’Institut national d’assurance maladie-invalidité, donné le 23 avril 2012;
Vu la décision de la Commission nationale dento-mutualiste en date du 24 avril 2012;
Vu l’avis de la Commission de contrôle budgétaire, donné le 6 juin 2012;
Vu la décision du Comité de l’assurance soins de santé de l’Institut national d’assurance maladie-invalidité en date du 11 juin 2012;
Vu l’avis de l’Inspecteur des Finances, donné le 23 juillet 2012;
Vu l’accord du Ministre du Budget, donné le 3 septembre 2012;
Vu l’examen préalable de la nécessité de réaliser une évaluation d’incidence, concluant qu’une évaluation d’incidence n’est pas requise;
Vu l’avis 52.047/2 du Conseil d’Etat, donné le 8 octobre 2012, en application de l’article 84, § 1er, alinéa 1er, 1°, des lois sur le Conseil d’Etat, coordonnées le 12 janvier 1973;
Sur la proposition de la Ministre des Affaires sociales,
Nous avons arrêté et arrêtons :
Article 1er. A l’article 5 de l’annexe à l’arrêté royal du 14 septembre 1984 établissant la nomenclature des prestations de santé en matière d’assurance obligatoire soins de santé et indemnités, modifié en dernier lieu par l’arrêté royal du 24 avril 2012, les modifications suivantes sont apportées :
1° en ce qui concerne les prestations 371011-371022, 371092-371103, 371114-371125, 371070-371081, 371556-371560, 371571-371582, 371254-371265, 374371-374382, 374872-374883, 379050-379061, 379072-379083, 377016-377020, 301011-301022, 301092-301103, 301114-301125, 301070-301081, 301254-301265, 304371-304382, 304872-304883, 304916-304920, 309050-309061, 309072-309083, 307016-307020, 305616-305620, 305653-305664, 305712-305723 et 389616-389620, les mots « P 3 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
2° en ce qui concerne les prestations 371033-371044, 374850-374861, 374754-374765, 377090-377101, 301033-301044, 301276-301280, 301291-301302, 301313-301324, 301335-301346, 301350-301361, 304850-304861, 304894-304905, 304754-304765, 307090-307101 et 305830-305841, les mots « P 4 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
3° en ce qui concerne les prestations 371055-371066, 371136-371140, 372536-372540, 373590-373601, 373612-373623, 374953-374964, 379094-379105, 379116-379120, 377053-377064, 301055-301066, 301136-301140, 303590-303601, 303612-303623, 304953-304964, 309094-309105, 309116-309120, 307053-307064 et 389653-389664, les mots « P 1 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
4° en ce qui concerne les prestations 372514-372525, 371792-371803, 371814-371825, 371836-371840, 371851-371862, 371873-371884, 371696-371700, 371711-371722, 371733-371744, 371755-371766, 371770-371781, 374931-374942, 379013-379024, 379035-379046, 377031-377042, 301696-301700, 301711-301722, 301733-301744, 301755-301766, 301770-301781, 302153-302164, 302175-302186, 302190-302201, 302212-302223, 302234-302245, 301976, 304931-304942, 309013-309024, 309035-309046, 307031-307042, 305911-305922, 305852-305863, 305896-305900 et 389631-389642, les mots « P 2 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
5° en ce qui concerne les prestations 373811-373822, 373892-373903, 374393-374404, 374356-374360, 374776-374780, 377112-377123, 304393-304404, 304776-304780 et 307112-307123, les mots « P 5 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
6° en ce qui concerne les prestations 373833-373844, 373914-373925, 374415-374426, 379131-379142, 379153-379164, 304415-304426, 309131-309142 et 309153-309164, les mots « P 6 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
7° en ce qui concerne les prestations 373855-373866, 373936-373940, 374430-374441, 374533-374544, 301593-301604, 304430-304441, 304533-304544, 305594-305605, 305631-305642 et 305675-305686, les mots « P 8 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
8° en ce qui concerne les prestations 373951-373962, 374452-374463, 304452-304463 et 389594-389605, les mots « P 9 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
9° en ce qui concerne les prestations 373973-373984, 373575-373586 et 303575-303586, les mots « P 11 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
10° en ce qui concerne les prestations 374474-374485, 374555-374566, 304555-304566 et 389572-389583, les mots « P 12 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
11° en ce qui concerne les prestations 374312-374323, 377134-377145, 304312-304323 et 307134-307145, les mots « P 7 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
12° en ce qui concerne les prestations 374570-374581 et 304570-304581, les mots « P 16 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
13° en ce qui concerne les prestations 378954-378965, 378976-378980, 306832-306843, 306854-306865, 306876-306880, 306891-306902, 306913-306924 et 306935-306946, les mots « P 38 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
14° en ce qui concerne les prestations 377230-377241, 307252-307263 et 307230-307241, les mots « P 17 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
15° en ce qui concerne les prestations 301372-301383, 305933-305944 et 305955-305966, les mots « P 15 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
16° en ce qui concerne les prestations 307731-307742, 307753-307764, 307775-307786, 307790-307801, 307812-307823, 307834-307845, 307856-307860, 307871-307882, 307893-307904 et 307915-307926, les mots « P 24 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
17° en ce qui concerne les prestations 307930-307941, 307952-307963, 307974-307985 et 307996-308000, les mots « P 26 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
18° en ce qui concerne les prestations 308011-308022, 308033-308044, 308055-308066 et 308070-308081, les mots « P 28 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
19° en ce qui concerne les prestations 308092-308103, 308114-308125, 308136-308140 et 308151-308162, les mots « P 33 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
20° en ce qui concerne les prestations 308512-308523 et 308534-308545, les mots « P 77 » sont à chaque fois ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
21° en ce qui concerne la prestation 305874-305885, les mots « P 0 » sont ajoutés sous la lettre clé et le nombre-coefficient;
Art. 2. L’article 6 de la même annexe, modifié en dernier lieu par l’arrêté royal du 24 avril 2012, est complété par le paragraphe 19 rédigé comme suit :
« § 19. A chaque prestation de l’article 5 est attribué un coefficient de pondération P.
L’intervention de l’assurance est subordonnée à la condition suivante : pour une période donnée qui ne peut être inférieure à 30 jours comportant au moins 6 prestations portées en compte à l’assurance maladie et invalidité par jour, la moyenne journalière des coefficients P calculée sur la période concernée ne dépasse pas 200 P. »
Art. 3. Le présent arrêté entre en vigueur le premier jour du deuxième mois qui suit celui de sa publication au Moniteur belge.
Art. 4. Le ministre qui a les Affaires sociales dans ses attributions est chargé de l’exécution du présent arrêté.
Donné à Bruxelles, le 17 janvier 2013.
ALBERT
Par le Roi :
La Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, chargée de Beliris et des Institutions culturelles fédérales,
Mme L. ONKELINX

debut

Publié le : 2013-01-31

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