Securimed tiers-payant
  • Premier Office de Tarification tiers-payant pour médecins-spécialistes et dentistes
  • Vérification de l'assurabilité des patients
  • Défense juridique contre les poursuites du SECM (Service du contrôle médical de l'INAMI)
  • Traçabilité des paiements par les OA

Protégé : OA et dentistes sociaux : le dessous des cartes

31 octobre, 2010 par Tiers Payant

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Un concept nouveau : l’Espace dentaire Jecta (EDJ)

31 octobre, 2010 par Dr R. BOURGUIGNON

Créer un grand cabinet dentaire n’est pas à la portée du premier venu, et le dentiste David HATZKEVICH peut, dans ce domaine, s’enorgueillir d’une expérience réussie : via sa société DENTAL CLINICS, il gère, à Anvers comme à Bruxelles, un cabinet social comptant plusieurs fauteuils.

Gérer un cabinet dentaire, c’est d’abord et avant tout travailler en bonne entente avec d’autres dentistes : M. HATZKEVICH peut compter sur le concours de huit confrères, dont certains collaborent avec lui depuis de nombreuses années.

M. HATZKEVICH peut aussi compter sur le soutien de SECURIMED qui assure la tarification en tiers-payant des ASD de DENTAL CLINICS et la protection juridique de ses dentistes.

Parfait bilingue, le dentiste HATZKEVICH a d’ailleurs créé un mouvement national pour la promotion et la défense de la dentisterie sociale – l’Association des Dentistes sociaux de Belgique ou ADSB – et développé une activité de conseil devant les juridictions administratives de l’INAMI.

Ces succès ont permis l’achat d’une vaste villa moderne dans un clos résidentiel à Jette, commune du nord de Bruxelles, proche de l’entrée de l’autoroute d’Anvers.

La particularité de cette demeure est de présenter de très grands volumes intérieurs donnant via de larges baies vitrées sur le bois de Dieleghem, ainsi qu’un sous-sol initialement conçu pour être un logement*.

L’idée de M. HATZKEVICH est donc de créer le premier « Espace dentaire » consistant en un cabinet social au sous-sol et en un cabinet VIP au rez-de-chaussée, avec une réception commune et deux salles d’attente distinctes.

Ainsi, le dentiste agréé peut, dans le cadre de DENTAL CLINICS, avoir le meilleur des deux mondes et pratiquer tant la dentisterie sociale que l’implantologie.

Mais le concept d’Espace dentaire ne se résume pas à l’intégration en un même lieu de deux styles de dentisterie fort différents : le dentiste HATZKEVICH souhaite profiter des grands volumes et des larges baies vitrées du rez-de-chaussée pour mettre au point une décoration aussi innovante qu’apaisante, axée sur la notion… d’espace** !

Ainsi a-t-il imaginé que le plafond se mue en un ciel étoilé digne du musée du quai Branly à Paris et que la décoration intérieure soit d’inspiration futuriste : et pourquoi pas un subtil rappel des vaisseaux spaciaux tels qu’on les concevait voici quelques décennies ?

Mais, c’est à ses collaborateurs que M. HATZKEVICH pense au premier chef : « Toute personne vit de sécurité et de projets : mes dentistes avaient déjà la sécurité, je souhaite à présent leur donner des perspectives très nettes de progression dans leur pratique dentaire comme dans leur type de patientèle. A l’Espace dentaire Jecta, je puis leur garantir ces deux valeurs. »

Il est également prévu que l’EDJ accueille un laboratoire dentaire… et même des fournisseurs de produits spécialisés.

L’Espace dentaire Jecta entend respecter les normes édictées par l’AWIPH : rampe d’accès au sous-sol praticable pour les personnes en fauteuil roulant, indications en braille, etc.

La réalisation de cet ambitieux projet a été confiée au célèbre architecte belge Albert SIMON.

Nous ne pouvons que rendre hommage à l’esprit visionnaire du dentiste HATZKEVICH et espérer que cet exemple permette à chaque dentiste de réaliser son ambition !
________________
* Le sous-sol est fort commodément aménagé d’origine en chambres séparées, mais M. HATZKEVICH pense recréer le « monovolume dentaire » qui a fait son succès à Anvers et même à son cabinet du boulevard Belgica…
** Le dentiste HATZKEVICH fait – avec finesse – remarquer le déconditionnement par rapport à la douleur: si certains patients ont pu avoir mal dans un centre, personne n’a jamais souffert dans un espace !

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Protégé : Les OA cherchent à tout prix à étouffer l’affaire des dentistes sociaux

30 octobre, 2010 par admin

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Risc Group : la perte annuelle de 35 millions d’euros est plus élevée que prévu

30 octobre, 2010 par Dr R. BOURGUIGNON

On se souviendra de Risc Group, cette société française* de « sauvegarde de données en ligne » qui démarchait par téléphone les médecins belges afin de les inciter à lui confier via Internet (!) leurs données médicales.

C’est finalement une perte annuelle de 35 millions d’euros (ME) que Risc Group affiche au 30 juin 2010, alors qu’en septembre dernier, la société avait indiqué qu’elle serait située entre -30,5 et -31,5 ME. En juin dernier la fourchette annoncée était encore plus optimiste (de -25,5 à -27,5 ME). La perte du seul deuxième semestre atteint -19,38 ME, contre -17 ME espérés.

Les réorientations stratégiques opérées par la nouvelle direction ont finalement entraîné la constatation d’une perte de valeur de 9,4 ME sur les écarts d’acquisition.

Le chiffre annuel atteint 64,8 ME contre un chiffre d’affaires de 83,6 ME sur les 12 mois au 30 juin 2009, soit une variation à la baisse de -23%.

Cela dit, nous continuons à recevoir des commentaires très négatifs concernant cette société : le Dr Marc De KOCK de Bruges nous écrit ce 30 octobre :

Ik werd op 10 augustus 2009 inderdaad benaderd door RISC GROUP op mijn consultatie te Antwerpen, en ook bij mij werd er een handtekening onder contract ‘losgepeuterd’ op basis valse voorwendsels, contract onmiddellijk te tekenen of de deal ging niet door… ’s Avonds na de laatste patient, heb ik het schriftelijk contract gelezen, wat inhoudelijk helemaal iets anders was dan wat mondeling werd overeengekomen. Heb op 11 augustus 2009 de zaak aangetekend afgezegd. maar RISC GROUP heeft met nu voor de rechter gedaagd te Brussel voor de betaling van 6700 euro met interesten « opzegging contract ».

Heb één troef : toevallig was bij dit gesprek een andere collega (ambtenaar van RIZIV !) aanwezig die één dag stage liep bij mij. Deze heeft schriftelijk mijn versie bevestigd.

Ik zoek nog andere ‘getuigenissen’ van collega’s omtrent hun ervaringen en de modus operandi van RISC GROUP, liefst schriftelijk, ondertekend, om te gebruiken voor de verdediging in proces.

Elke getuige krijgt uiteraard navolgend cc van de vonnissen/arresten opgezonden.

Uiteraard ben ik ook zeer geïnteresseerd in reeds gevallen uitspraken voor de brusselse rechtbank.

Mocht u collega’s kennen die bereid zijn tot actie (evt gezamenlijke actie ?) :

Dr. Marc De Kock
Polderhoeklaan 6
8310 Brugge
tel. 050371602
fax 050371604

L’histoire du Dr DE KOCK montre bien, une fois de plus, qu’une grosse société financièrement aux abois et prête à tout peut se révéler extrêmement dangereuse… pour ses clients !
__________________
* Risc Group est cotée à Paris – code ISIN FR0010542647 – mais aujourd’hui l’action ne vaut plus que 0,36 euro (comparé à plus de 160 euros lors de son introduction en novembre 2000 ; son cours s’est effondré une première fois en 2002, puis à nouveau en 2004, jusqu’à ce que Risc Group devienne une « penny stock »…)

Télécharger : Communiqué Risc Group.pdf

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CIN et point 8 de l’ANDM 2009-2010 : tous les dossiers introduits par SECURIMED acceptés

29 octobre, 2010 par Tiers Payant

Ce 29 octobre, les dentistes affiliés à SECURIMED et concernés par la procédure visée au point 8 de l’ANDM 2009-2010 ont reçu du CIN la lettre recommandée suivante, datée du 26 octobre 2010 :

Nous nous référons à notre lettre recommandée du 10 septembre 2010 par laquelle nous vous informions que la Commission Nationale dento-mutualiste a constaté lors de sa réunion du 13 juillet 2010 que vous n’avez pas respecté les engagements fixés dans l’accord médico-mutualiste 2009/2010* (sic) par rapport au bon usage du régime du tiers payant.

En application de l’article 4 bis, § 5 de l’Arrêté Royal susmentionné, nous vous avions invité à nous communiquer vos remarques à ce sujet dans un délai de 15 jours à compter de la date d’envoi de cette lettre.

Nous avons reçu le mail de Securimed du 17 septembre 2010 ainsi que le courrier de votre conseil du 22 septembre 2010 avec vos remarques.

Après examen, de vos arguments de faites (sic) concernant les caractéristiques sociales mesurables de votre patientèle, il apparaît que nous pouvons tenir compte de vos remarques et par conséquent nous renonçons à notre intention, conformément à l’article 4 bis, § 5, 1° de l’Arrêté Royal du 10 octobre 1986, de retirer le régime du tiers payant, prévu dans le contrat avec le Collègue Intermutualiste.

En ce qui concerne l’application du tiers payant, votre situation reste donc la même que précédemment.

Veuillez…

Une telle lettre équivaut ni plus ni moins à un brevet officiel de dentiste social, permettant de recourir au tiers-payant (nettement) au-delà des quotas prévus.

Madame BADIE du CIN explique que seule la moitié des 54 dossiers restant ont été acceptés… ce qui constituait exactement notre pronostic (voir News du 14 octobre 2010 CIN : « une vingtaine de dossiers (déjà) acceptés »).

Toutes nos félicitations aux heureux lauréats !
____________
* On notera que le CIN se réfère à « l’accord médico-mutualiste 2009/2010″ !

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