20 avril, 2015 par admin
On n’arrête pas le progrès : lors de la création de notre site web en 2008, les « smartphones » et autre tablette n’existaient pas ou presque.
Il sont à présent devenus monnaie courante et nous avons d’ailleurs pu constater que quelque 25 à 30% des visiteurs de notre site web utilisent aujourd’hui un « mobile ».
Nos graphistes et développeurs ont donc réalisé une version mobile de notre site, que l’on trouvera du reste à l’adresse : securimed.eu/mobile/fr/
Contrairement à la version « desktop », la version mobile adapte sa langue en fonction de celle de votre navigateur (« browser »).
Aucun commentaire »
20 avril, 2015 par admin
Belga) La commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean, 95.000 habitants, est au bord de la faillite. Un bilan dramatique lié à l’évolution de sa démographie et à la crise. Mais aussi et surtout à sa gestion passée, rapportent lundi La Libre Belgique et La Dernière Heure.
« La Libre » a pu consulter une série de documents détaillant les problèmes financiers de la commune. Molenbeek a vécu au-dessus de ses moyens à tel point que, sans coup de pouce régional, elle ne sera bientôt plus en mesure de payer ses fonctionnaires. Cette situation fait suite à des engagements de personnel inconsidérés, des subsides non perçus et une dette croissante, malgré la mise en garde du ministre-président bruxellois de l’époque Charles Picqué (PS). La commune a donc demandé un plan d’accompagnement à la Région de Bruxelles-Capitale qui doit encore statuer sur celui-ci. Philippe Moureaux (PS), bourgmestre de Molenbeek de 1992 à 2012, conteste toute faille dans son chef, mais admet que sa commune était en difficulté budgétaire au terme de son mandat.
Aucun commentaire »
15 avril, 2015 par admin
(Belga) Le Soliris, un médicament très onéreux (18.000 euros par mois) utilisé pour traiter le Syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa), une maladie particulièrement rare, ne sera plus remboursé pour un usage préventif. Le producteur Alexion avait jusqu’à mardi minuit pour répondre à une offre de remboursement spécifique à laquelle il n’a pas souscrit, a-t-on appris auprès du cabinet de la ministre des Affaires sociales et de la Santé Maggie De Block.
La Commission de remboursement des médicaments (CRM) avait jugé il y a deux semaines que le Soliris ne pouvait « pas entrer en ligne de compte dans le cadre d’un remboursement classique » pour le traitement préventif du SHUa, étant donné notamment l’absence de preuve scientifique de son efficacité. Alexion pouvait dès lors se rabattre sur une procédure de remboursement spécifique à condition de prouver l’utilité du Soliris pour un usage préventif. La société avait jusqu’à mardi minuit pour réagir. Il n’y a eu aucune réaction de sa part. La ministre précédente des Affaires sociales et de la Santé Laurette Onkelinx avait permis le remboursement du médicament alors que la presse s’était émue du cas d’un enfant atteint du SHUa. La famille de cet enfant déplore aujourd’hui l’évolution du dossier. La ministre De Block n’entend pas mener une politique de remboursement avec « des contrats sur mesure » pour les entreprises. (Belga)
(Belga) Le Soliris, un médicament très onéreux (18.000 euros par mois) utilisé pour traiter le Syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa), une maladie particulièrement rare, ne sera plus remboursé pour un usage préventif. Le producteur Alexion avait jusqu’à mardi minuit pour répondre à une offre de remboursement spécifique à laquelle il n’a pas souscrit, a-t-on appris auprès du cabinet de la ministre des Affaires sociales et de la Santé Maggie De Block.
La Commission de remboursement des médicaments (CRM) avait jugé il y a deux semaines que le Soliris ne pouvait « pas entrer en ligne de compte dans le cadre d’un remboursement classique » pour le traitement préventif du SHUa, étant donné notamment l’absence de preuve scientifique de son efficacité. Alexion pouvait dès lors se rabattre sur une procédure de remboursement spécifique à condition de prouver l’utilité du Soliris pour un usage préventif. La société avait jusqu’à mardi minuit pour réagir. Il n’y a eu aucune réaction de sa part. La ministre précédente des Affaires sociales et de la Santé Laurette Onkelinx avait permis le remboursement du médicament alors que la presse s’était émue du cas d’un enfant atteint du SHUa. La famille de cet enfant déplore aujourd’hui l’évolution du dossier. La ministre De Block n’entend pas mener une politique de remboursement avec « des contrats sur mesure » pour les entreprises.
Aucun commentaire »
15 avril, 2015 par Dr R. BOURGUIGNON
QUESTION AU CTM :
En ce qui concerne la prestation 469733, la Nomenclature prévoit à l’art. 17quater §1er, 2° :
Les échographies cardiovasculaires comprennent un examen duplex couleur avec une image échographique bidimensionnelle et un tracé doppler, avec analyse de fréquence des signaux, documenté par un protocole écrit et un support iconographique.
Ce « support iconographique » peut-il être la représentation de ce que voit le dispensateur à l’écran, tracé de sa main sur papier, ou doit-il nécessairement provenir en direct de la machine ?
REPONSE (de l’INAMI) :
Le groupe de travail interprétation a déjà examiné cette question :
Ongeacht de gebruikte techniek, moet het gaan om een interpreteerbare, geregistreerde en reproduceerbare opname. Het moet niet noodzakelijk een kleurenuitprint zijn. Een tekening die wordt uitgevoerd op basis van een beeld op videoscherm, waarvan zelf geen enkel bewijs zou worden bijgehouden, mag niet worden beschouwd als een iconografisch document zoals in de nomenclatuur is omschreven.
Dr. Dirk Van Damme
Secretariaat van de technische geneeskundige raad
Secretariat du conseil technique médical
COMMENTAIRE :
Il faut bien noter le segment de phrase : « waarvan zelf geen enkel bewijs zou worden bijgehouden », lequel peut changer pas mal de choses !
Si un dispensateur présente des schémas ou dessins tracés de sa main et qu’en outre il rapporte la preuve que l’examen a bien eu lieu, la réponse du CTM implique a contrario que ces schémas ou dessins seraient admissibles…
______________________
* Un dessin réalisé sur base d’une image sur écran vidéo, de laquelle on ne garderait même pas la preuve, ne saurait être consideré comme un « document iconographique » répondant au prescrit de la Nomenclature.
Aucun commentaire »
8 avril, 2015 par admin
(Belga) Un office allemand de protection des données a intimé mercredi à Google de modifier ses pratiques de divulgation des informations personnelles, un nouvel épisode dans la lutte entre le géant américain de l’internet et les autorités dans plusieurs pays européens.
L’Autorité de protection des données de la ville-Etat de Hambourg a demandé à Google de « prendre les dispositions nécessaires pour placer les pratiques d’exploitation des données sur ses utilisateurs allemands sur une base légale recevable », selon un communiqué. Dans le collimateur de l’Autorité, dont le président Johannes Caspar est en pointe dans le combat contre Google, l’élaboration par l’entreprise de profils d’utilisateurs compilant sans leur autorisation des données sur les internautes, par exemple leur âge ou leur situation de famille. L’Autorité, compétente parce que Google Allemagne est basé à Hambourg mais dont les décisions valent pour l’ensemble du territoire, a émis dès septembre dernier une ordonnance administrative pour obliger Google à changer ses pratiques en la matière – pratiques en vigueur depuis 2012. Mais la société avait déposé un recours, qui a été examiné ces derniers mois. A l’issue de cette procédure « certains points de forme soulevés par Google ont été retenus et l’ordonnance adaptée en conséquence, mais sur le fond le recours a été rejeté », selon le communiqué. Si Google n’obtempère pas, il risque une amende à chaque infraction. Le groupe a toutefois un mois pour éventuellement porter plainte devant un tribunal administratif. La défiance est forte à l’égard de Google dans une Allemagne très attachée pour des raisons historiques au respect de la vie privée. L’introduction par le groupe de son service Streetview, base de données de photos de rues et d’immeubles des villes, avait également suscité une levée de boucliers. Par ailleurs beaucoup d’éditeurs allemands de presse sont en conflit ouvert avec la société sur le respect des droits d’auteur.
Aucun commentaire »